Le workaholic est complètement accro à son boulot. Surmenage, burn-out ou impossibilité de se déconnecter, 30 % des actifs français ont déjà craqué selon une étude d’Instant Offices sur l’équilibre vie-travail. Découvrez les symptômes de l’addiction au travail et sevrez-vous !
Le docteur Cecilie Schou Andreassen a mis en place le Bergen Work Addiction Sale qui permet de vous situer sur l’échelle de l’addiction au travail. Si vous vous reconnaissez dans au moins quatre de ces critères, il y a de fortes chances que vous soyez workaholic…
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Vous reconnaissez-vous ?
30 % des actifs français auraient été victimes de burn-out. Si ce nombre est certes mieux que celui de nos voisins d’outre-manche (57 % des travailleurs britanniques ont déjà fait un burn-out), il n’en reste pas moins que le surmenage et le stress sont le fléau des travailleurs.
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Alors à qui la faute ? L’hyperconnexion a sa grande part de responsabilité, puisqu’il est aujourd’hui facile et rapide d’envoyer un mail ou d’y répondre depuis ses toilettes ou son lit.
Malgré le droit à la déconnexion introduit en 2017, le travail se dématérialise sur vos écrans et vous suit partout où que vous alliez, allongeant vos journées ce qui, à long à terme, vous rend moins productif.
Comment se sortir du workaholisme et retrouver un équilibre entre sa vie pro et sa vie perso ? Si l’image du hard worker (le travailleur assidu et engagé) est valorisée au sein de nos sociétés, celle-ci peut également conduire à une dégradation de la santé du travailleur.
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La différence majeure entre une personne travaillant dur et un accro au travail est que le second génère du mauvais stress qui se répercute souvent sur sa santé. Le fait de culpabiliser de ne pas travailler est également un signe que vous êtes plus workaholic qu’hard worker.
Et n’oubliez pas : le travail ce n’est pas toute votre vie !
Par Maelys Léon