13 novembre 2025

: Salon Nouvelle Vie Pro et Journée nationale de la reconversion

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Maelys Léon

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3 conseils pour booster votre confiance et réussir votre reconversion professionnelle

Découvrez 3 conseils pour réussir sa reconversion professionnelle. Émilie Tignères vous livre ses conseils pour gagner en confiance et passer le cap.

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CDD Senior : tout savoir sur le contrat à durée déterminée pour les seniors

Voici tout ce qu’il faut savoir sur le CDD Senior, le contrat à durée déterminée qui aide les seniors à retrouver un travail quand ils sont au chômage.

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Comment se reconvertir après une démission ?

Découvrez toutes les étapes pour se reconvertir après une démission et changer de métier pour enfin s’épanouir dans son travail (et retrouver du sens).

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2002 – 2022 : La VAE fête ses 20 ans

La VAE fête ses 20 ans cette année ! C’est l’occasion d’en savoir plus sur ce dispositif qui valide un diplôme ou une certification.

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Vivre et travailler dans l’Allier : mobilité, reconversion

3 raisons de venir vivre et travailler dans l’Allier

Avec ses plaines verdoyantes, ses plateaux boisés et sa richesse culturelle, l’Allier est un département où il fait bon vivre !

Situé au centre de la France, l’Allier Bourbonnais se compose de villes de prestige comme Vichy, Moulins et Montluçon, mais aussi de châteaux médiévaux, de paysages calmes et d’activités sportives, culturelles ou touristiques.

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Source : L’Allier Bourbonnais

Vous qui voulez un nouveau départ, quelque part en France, pourquoi ne pas choisir l’Allier comme destination pour vous reconvertir, créer une entreprise ou télétravailler ?

Voici au moins 3 raisons de plier bagages pour aller vivre et travailler dans l’Allier.

1. Vous profitez d’un meilleur cadre de vie

Si vous en avez marre de la ville, de la pollution et du reste, changez de vie et changez de cadre de vie. Ressourcez-vous dans un milieu naturel et culturellement riche.

Musées, station thermale, châteaux… Découvrez un environnement paisible dans lequel vous pourrez retrouver un meilleur équilibre vie pro / vie perso et, peut-être, on l’espère, plus de sens et d’épanouissement.


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2. Vivre entre ville et campagne

L’Allier propose un savant équilibre entre la ville et la campagne. Vous n’êtes pas obligé de vivre loin de toute zone urbaine. D’ailleurs, vous vous trouvez toujours à moins de 45 minutes d’une agglomération.

Vous avez accès aux avantages de la ville avec des activités sportives variées, des activités culturelles, des événements organisés tout au long de l’année, etc. Néanmoins, si vous préférez les villages et la tranquillité, vous pouvez aussi y trouver votre bonheur.

Côté vie professionnelle, vous pourriez créer votre entreprise, travailler dans les nombreuses entreprises implantées dans la région, ou bien reprendre un commerce rural et devenir indépendant.

3. Moins de stress et plus d’harmonie

Avec un cadre de vie calme, des villes à taille humaine et des activités variées qui sont proposées pour toute la famille, les conditions sont réunies pour réduire le stress de l’hyperactivité urbaine.

Si vous craignez l’intégration dans un nouvel environnement, sachez qu’il existe plein d’associations sportives, culturelles ou de loisir pour rencontrer du monde et vous épanouir.

Si vous exercez votre métier à distance, vous pouvez télétravailler dans un espace de coworking. L’Allier étant au centre de la France, vous n’êtes pas loin de Paris et de Lyon (par exemple) pour travailler à distance depuis la campagne pour la ville.

De plus en plus de citadins choisissent cette option quand ils le peuvent. Rester salarié, mais pouvoir vivre ailleurs en France offre de meilleures opportunités pour améliorer sa qualité de vie.

Vous avez envie de changement, mais vous ne savez pas comment faire ?

L’Allier Bourbonnais vous accompagne dans vos démarches ! Posez-leur toutes vos questions et profitez d’un accompagnement personnalisé pour vous aider à trouver le job de vos rêves dans l’Allier.

Le dispositif « Allier Bourbonnais Accueil » vous aide dans vos démarches et dans votre installation. En plus, c’est gratuit !

Pour en savoir plus, rendez-vous le 8 novembre au salon sur la reconversion à Paris !

Vous pouvez aussi vous rendre sur leur site et les contacter directement.

Trouver un emploi dans l’Allier

Déménager pour partir en région c’est bien… Mais quid de l’emploi ?

Pas de panique, l’Allier Bourbonnais vous accompagne dans votre démarche de mobilité.

En attendant d’échanger avec eux sur votre projet professionnel ou sur vos envies de changement, voici quelques astuces pour trouver un travail dans l’Allier et enfin déménager dans un lieu qui vous plaît.

Trouver un travail

Les sites comme Pôle Emploi affichent les offres d’emploi disponibles dans l’Allier. N’hésitez pas à aller voir quels sont les postes vacants dans le département et postulez quand une offre vous plaît.

Le site Emploi-Allier indique également les offres disponibles dans le département.

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Source : l’Allier Bourbonnais

Se former dans l’Allier

La formation professionnellefacilite la mobilité. Elle vous permet de commencer une nouvelle vie n’importe où et d’acquérir de nouvelles compétences.

L’Allier Bourbonnais propose de nombreuses formations professionnelles ainsi que des structures pour vous aider à changer de métier.

Que vous soyez demandeur d’emploi ou en reconversion, vous trouverez forcément les organismes pour vous accompagner.

Si faire une reconversion vous intéresse, vous pouvez aussi suivre une formation à distance ou en ligne pour vous former à un nouveau métier et profiter d’un cadre idyllique.

Pour vous aider

Rendez-vous sur :

Entreprendre dans l’Allier et créer son entreprise

L’Allier Bourbonnais vous aide à créer votre entreprise dans le département. Vous pouvez la créer de A à Z ou bien effectuer une reprise d’entreprise.

Découvrez les offres d’installation pour chercher un local, vous installer et commencer votre profession indépendante.

Restaurant, salon de coiffure, services de proximité… De nombreuses opportunités sont possibles !

Vous avez un projet de création ou reprise d’entreprise ?

Parlez-en avec l’Allier Bourbonnais ! Découvrez toutes les offres de reprise d’entreprise sur leur site internet ainsi que les différents dispositifs de financements pour votre projet d’entreprise.

Ce service public gratuit accompagne la création et la reprise d’entreprises en lien avec l’ensemble des acteurs socio-économiques du territoire.

Témoignage : ils ont choisi l’Allier pour s’installer

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Comment se reconvertir ? (En 3 étapes)

Étape n°1 : comprendre pourquoi je veux me reconvertir

Avant de foncer tête baissée, posez-vous les bonnes questions. Faites le point sur :

  • vos aspirations ;
  • les raisons qui vous poussent à la reconversion ;
  • vos motivations ;
  • vos idées de métier, vos envies de changement.

Vous pouvez prendre rendez-vous avec un conseiller en évolution professionnelle (CEP) pour un faire un bilan personnel, dégager vos centres d’intérêt et comprendre pourquoi vous avez envie de quitter votre emploi.

Vous pouvez aussi réaliser un bilan de compétences pour identifier vos soft skills, vos hard skills et voir ce que vos différentes expériences professionnelles ainsi que votre parcours de formation vous ont apporté.

Vous faire accompagner pour verbaliser vos envies professionnelles

Avant de vous reconvertir professionnellement, verbalisez vos envies et vos peurs. Vous pouvez en discuter avec un coach professionnel ou même avec un conseiller Pôle Emploi ou votre service RH si vous songez à quitter votre CDI.

Le but ici est de préparer votre réorientation professionnelle. Changer de job n’est pas la seule solution face à votre sentiment de mal-être au travail. Il suffit parfois de changer d’entreprise, d’évoluer dans votre carrière, de changer de poste…

La reconversion est une solution parmi d’autres pour changer de voie et permettre de vous épanouir dans votre emploi.

Exemples de types d’accompagnement proposés pour la reconversion :

  • les bilans de compétences (qui peut être financé par un organisme, comme les Transitions Pro) ;
  • le coaching professionnel (certains coachs proposent des prestations compatibles avec le CPF) ;
  • le conseil en évolution professionnelle (service gratuit) ;
  • Pôle Emploi propose des formations pour l’orientation et la réinsertion professionnelle afin de réussir à identifier ses centres d’intérêt et ses objectifs.

Déterminer un projet de reconversion

Après avoir fait le point sur votre situation actuelle et sur vos envies, déterminez votre projet professionnel.

Vous n’avez pas d’idées de métier en tête ? Renseignez-vous sur les différents secteurs d’activité qui vous plaisent. Prenez en compte toutes les éventualités pour vous orienter vers une branche dans laquelle vous aimeriez travailler.


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Faites une première sélection, puis renseignez-vous davantage sur l’emploi qui vous intéresse :

  • cherchez les formations professionnelles que vous pourriez faire pour accéder à ce métier ;
  • questionnez des personnes de votre réseau qui exercent ce job ;
  • analysez le marché de l’emploi avec Data Emploi et renseignez-vous sur les besoins en main-d’œuvre et les offres d’emploi dans votre région (ou ailleurs si déménager fait partie de vos plans de reconversion professionnelle) ;
  • rencontrez des professionnels pour développer votre réseau, rencontrer des recruteurs et mieux connaître les conditions d’accès à cette profession.

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Confrontez les différents résultats et voyez s’ils entrent en conflit avec l’idée que vous vous faisiez de ce futur job de rêve. Évaluer les points positifs et les points négatifs de votre réorientation vous permet de ne pas sauter dans le vide et d’être déçu à l’arrivée (du moins, cela réduit les risques de désillusion).

Faites aussi le point sur vos ressources et vos dépenses personnelles, ainsi que vos contraintes familiales. Faire une reconversion engendre parfois de grands changements dont il faut prendre conscience.

Étape n°2 : programmer le plan de sa reconversion professionnelle

Par quelles étapes devez-vous passer pour réussir votre projet ? Ces étapes peuvent être :

  • une formation pour changer de secteur ou d’emploi ;
  • un accompagnement pour créer votre entreprise et vous lancer dans l’entrepreneuriat ;
  • une aide pour changer d’employeur, développer votre réseau professionnel, distribuer votre CV et commencer une nouvelle carrière.

Choisir sa formation professionnelle

Formation qualifiante, certifiante, initiale, continue, VAE… Il existe toutes sortes de formations pour changer de travail. En fonction de vos recherches sur le métier de vos rêves, dégagez la formation professionnelle la plus à même de vous rapprocher de votre futur emploi.

N’hésitez pas à consulter les différents organismes de formation de votre région. Suivre une formation peut aussi se faire à distance, en ligne ou à temps partiel.

Comment financer sa formation ?

Outre l’apport financier personnel, plusieurs financements sont possibles pour prendre en charge une partie ou la totalité de votre formation :

  • le compte personnel de formation (CPF) ;
  • le Projet de Transition Professionnelle (PTP) proposé par Transitions Pro régionales (ex-Fongecif);
  • l’employeur ;
  • les OPCO

Découvrez tous les autres dispositifs pour financer votre formation sans CPF.

Créer son entreprise

Plusieurs réseaux comme l’Urssaf ou Pôle Emploi accompagnent les demandeurs d’emploi et les salariés qui veulent créer leur entreprise. Vous n’avez pas à vous lancer seul dans l’entrepreneuriat.

De même, vous pouvez envisager une reconversion sans changer de profession. Lancez-vous en freelance ou en auto-entrepreneur pour continuer votre activité professionnelle, mais comme travailleur indépendant.

La reconversion est une nouvelle aventure professionnelle et pas forcément une réorientation radicale.

Découvrez toutes les aides à la création d’entreprise qui existent pour entreprendre.

Changer d’entreprise

Si vous aimez votre job, mais que vous manquez de sens ou que vous avez envie de changer, vous pouvez évoluer dans votre métier et changer d’entreprise.

Sans pour autant recommencer à zéro ni passer par la case chômage, vous pouvez postuler aux offres d’emploi qui vous intéressent ou développer votre réseau.

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Étape n°3 : passer à l’action et vous épanouir dans votre futur emploi

Une fois que vous connaissez les différentes étapes de la reconversion, foncez !

C’est le moment de passer à l’action, de poser votre démission si nécessaire et de partir à l’aventure pour décrocher le job de vos rêves, monter votre boîte ou changer de carrière.

Mais c’est souvent au moment d’agir que le projet freine. Anticipez vos peurs et affrontez-les pour réussir votre reconversion et (enfin) changer de vie.

Identifier et combattre ses peurs

« Je n’y arriverai jamais », « je ne suis pas assez bon », « je n’ai pas les atouts pour », « et si je me trompe ? »

Un changement professionnel va de pair avec les peurs. C’est normal et ça ne doit pas vous inquiéter. Au contraire, voyez vos inquiétudes comme des tests sur vos motivations et sur vos envies de changements de métier.

Pour vaincre la peur de changer de vie, vous pouvez :

  • en parler avec un coach ou un conseiller ;
  • en parler à un thérapeute si les angoisses sont profondément ancrées ;
  • chercher la raison de ces peurs ;
  • vous demander si vous parviendrez à supporter cette situation plus longtemps.

N’attendez pas le burn-out pour donner une nouvelle orientation à votre carrière. Envisager de changer de métier, c’est déjà un signe que vous vous intéressez à autre chose, que vous avez envie de faire autre chose. Le bon moment pour changer de carrière professionnelle, c’est quand vous l’avez décidé.

Vous préparer est la clé d’une reconversion réussie

Le plan de reconversion est très important, car il vous aide à lutter contre les freins et les blocages. Plus vous préparez votre nouvelle vie professionnelle et plus la transition sera facile et sereine.

Vous pouvez aussi prévoir un filet de secours et anticiper tous les risques avant de démissionner. Par exemple, si vous souhaitez ouvrir votre entreprise, vous pouvez essayer d’épargner une partie de votre rémunération chaque mois pour avoir une sécurité financière équivalente à 1 mois de salaire.

Avant de postuler et de passer à l’étape de la recherche d’emploi et du recrutement, pensez aussi à refaire votre curriculum vitae (CV) et votre lettre de motivation. Préparez votre entretien d’embauche pour anticiper les questions des recruteurs !


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La reconversion, c’est prendre le risque de s’épanouir

On pourrait répéter « qui ne tente rien n’a rien », mais ce serait un peu abstrait.

La reconversion, c’est prendre le risque de vous épanouir dans un nouveau métier, une nouvelle carrière, une nouvelle entreprise.

Avant de vous lancer, vous pouvez toujours effectuer le test suivant sur une feuille de papier :

  • d’un côté, notez tous les risques qu’engendre ce changement de situation professionnelle ;
  • de l’autre, notez les bénéfices que vous pensez en tirer ;
  • essayez de trouver une solution aux risques.

À la fin, s’il y a plus de bénéfices et des risques avec solution que des risques tout court, c’est qu’il est temps de passer au plan d’action !

Pour vous aider à vous reconvertir

Reconversion professionnelle : par où commencer ?

Reconversion professionnelle, besoin ou envie ?

Les 4 étapes de construction de votre projet professionnel

Quel métier est pour moi ?

Créer son entreprise : quel statut choisir ?


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Création d’entreprise : comment se faire accompagner ?

Le nouvel accompagnement sur mesure pour favoriser la création d’entreprise

Le gouvernement veut faciliter la création d’entreprise et l’entrepreneuriat. Pour cela, il lance un programme d’accompagnement personnalisé qui vise tous les profils, quel que soit le niveau d’étude, l’âge ou le secteur d’activité.

Le programme « Inclusion par le travail indépendant » vous offre un accompagnement gratuit à l’entrepreneuriat. Il permet de concrétiser votre envie d’entreprendre, que vous soyez au stade de préparation du projet ou de la création de l’entreprise.

En bref, ce programme vous aide à monter votre boîte !


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À qui s’adresse l’accompagnement « Inclusion par le travail indépendant » pour créer une entreprise ?

Le programme d’accompagnement « Inclusion par le travail indépendant » s’adresse à toutes les personnes en difficulté pour trouver un emploi et qui ont un projet de création d’entreprise ou de reprise d’entreprise.

Une prime de 3.000 euros pour les moins de 30 ans

En fonction de vos besoins, le gouvernement peut vous offrir une prime de 3.000 euros pour créer votre entreprise. Il s’obtient auprès de 3 opérateurs (Adie, France Active et Initiative France) sur la base d’un dossier et après un diagnostic de vos besoins.

Qui contacter pour profiter d’un accompagnement personnalisé et créer son entreprise ?

Plusieurs opérateurs vous accompagnent dans la création de votre entreprise et dans la réalisation de votre projet entrepreneurial.

Initiative France

Le réseau Initiative France vous accompagne dans toutes les démarches administratives, juridiques et autres. Son service est gratuit et vous offre la possibilité de participer à des ateliers individuels et collectifs pour finaliser votre projet et le mettre en œuvre.

Initiative France vous permet également d’obtenir un financement à taux zéro. Vous avez accès à un réseau professionnel et à des conseillers.

90 %

des entreprises soutenues par Initiative France ont plus de chance de rester en activité après 3 ans.

Adie

L’Adie accompagne et finance les personnes en situation d’exclusion bancaire. Si vous avez un projet de création d’entreprise, elle offre un microcrédit professionnel pour vous aider à démarrer votre activité.

L’Adie offre aussi un accompagnement à la création d’entreprises personnalisé pour tous les actifs français, que vous soyez salarié en poste ou demandeur d’emploi.

UCE

L’Union des couveuses d’entreprises est un réseau national doté de 200 lieux d’accueil dans toute la métropole et dans les DOM.

L’UCE permet à tous les porteurs de projet de tester leur marché avant de se lancer dans la création ou reprise d’entreprises.

L’entrepreneur signe un contrat d’accompagnement au projet d’entreprise pour maintenir un statut et obtenir une protection sociale. Le contrat peut durer jusqu’à 1 an et il est renouvelable 2 fois.

L’accompagnement de l’UCE intervient avant l’existence légale de l’entreprise. L’union propose un hébergement juridique temporaire ainsi que des formations à l’entrepreneuriat. Elle offre un filet de protection pour tous les entrepreneurs qui veulent essayer leur idée avant de lancer leur entreprise.


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BGE

Le BGE est un réseau associatif national qui propose des aides à la création d’entreprise. Il intervient de l’idée jusqu’au développement.

Le BGE vous conseille et vous informe tout au long de votre projet, quels que soient votre parcours professionnel, votre secteur d’activité et le degré de développement de l’entreprise.

400 000

entreprises ont été accompagnées par le BGE depuis 1979.

France Active

France Active aide les créateurs d’entreprise à travers 35 associations territoriales. Les bénévoles et salariés accueillent, conseillent et financent les porteurs de projets.

Profitez également d’un accompagnement sur mesure et d’un plan de financement pour vous faire accompagner et développer votre activité tout au long de son parcours.

La Ruche

La Ruche est un accompagnement qui suit des projets, des chefs d’entreprise et des repreneurs d’entreprise.

Obtenez un rendez-vous avec un coach ou suivez une formation en ligne pour gérer votre activité en toute autonomie et assurer la pérennité de votre aventure entrepreneuriale.

L’accompagnement à distance dure 13 semaines. Il est pensé pour transformer vos idées en projets viables.

La Ruche accompagne la création d’entreprise et vous aide à trouver des partenariats et des partenaires ainsi que des acteurs pour financer votre projet.

Le Groupement de créateurs

Le Groupement de créateurs accompagne les auto-entrepreneurs et les chefs d’entreprise en 4 étapes :

  1. une analyse pour mieux vous connaître ;
  2. préciser et développer votre idée d’entreprise ;
  3. découvrir l’environnement du projet et vous renseigner sur le secteur d’activité ;
  4. construire le projet en adéquation avec vos valeurs personnelles, le projet et l’environnement.

Après cet accompagnement, le Groupement de créateurs vous aide à trouver les structures pour réaliser une étude de marché et créer un business plan.

Bon à savoir :

La structure que vous choisirez demandera des informations sur votre situation, comme votre niveau de qualification, la durée d’inscription à Pôle Emploi, le lieu d’habitation, l’existence d’un handicap, etc.

Contactez-les pour vérifier si leurs offres et services sont compatibles avec vos besoins.


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Comment se reconvertir dans les métiers d’avenir ?

Se reconvertir dans un métier d’avenir en 2023

Pour se reconvertir en 2023, quel secteur professionnel choisir ? Quels sont les métiers qui recrutent le plus : ceux de la tech, ceux du secteur de l’impact, ceux liés à l’innovation ?

Quel que soit votre choix de reconversion, il est mûrement réfléchi, et vous allez vous mettre en route pour acquérir les « hard skills », les savoirs spécifiques nécessaires à votre secteur d’activité et à votre futur métier.

Nous, ce qu’on vous propose, c’est d’affûter votre meilleure arme : vos « soft skills », les compétences professionnelles comportementales.

Ça veut dire quoi, affûter ses compétences dites comportementales ? Voici comment vous démarquer, vous adapter en toutes circonstances, réussir votre reconversion professionnelle dans un métier d’avenir et vous épanouir dans votre future vie professionnelle !

Bon à savoir : 8 métiers du futur qui recruteront à l’avenir

  1. Hacker pour garantir la sécurité informatique ;
  2. Concepteur de monde virtuels, notamment dans les jeux vidéo ;
  3. Ingénieur en énergies renouvelables, pour aider à la transition énergétique ;
  4. Pilote de drone en agriculture, pour identifier les besoins hydriques des plantations ;
  5. Chauffeur de fin de trajet, pour prendre la relève des camions et voitures autonomes ;
  6. Les métiers du soin à la personne et les professions dites du « care » ;
  7. Expert en cyborg, notamment à cause de la montée de la « médecine personnalisée » ;
  8. Responsable du bonheur, des managers « bien-être » pour garantir la bonne qualité de vie au travail des salariés et limiter les démissions.

Source : Courrier international.

Se reconvertir en apprenant à apprendre

Contre l’obsolescence des compétences, la meilleure d’entre elles est celle de savoir s’adapter !

Accepter qu’on ne sait pas, se mettre dans une position d’apprenant, c’est essentiel lorsqu’on souhaite se réorienter dans des secteurs d’activité où tout évolue très vite.

La tech, c’est donc un état d’esprit : il faut être curieux, touche à tout. Beaucoup de gens de cet écosystème se sont formés en regardant des heures et des heures de tutos, en assistant à des conférences et des webinaires. Se former grâce à ses pairs, c’est un excellent moyen d’acquérir une expertise de pointe !

Comment faire pour apprendre un nouveau métier ?

Vous apprenez un nouveau métier en adoptant un état d’esprit de débrouille, en vous formant sur les grandes logiques de votre secteur en n’acceptant de ne pas être expert.e.

Vous voulez comprendre les fondamentaux du web 3, de la data, du product management, acquérir un état d’esprit propre au numérique et à l’entreprenariat, découvrir d’autres cultures managériales ? C’est en étant à la fois humble, touche-à-tout et passionné que vous y parviendrez le mieux.

Les conseils pratiques de Maria Schools pour réussir votre projet professionnel

1. Des webinaires pour se cultiver : Pour le coup de pouce, c’est ce que véhicule et transmet l’école Lion ! Pour se familiariser avec l’écosystème, découvrez les fiches des métiers de demain dans la tech ; assistez aux webinaires qui traitent des actualités de la tech, rejoignez une communauté d’acteurs de l’innovation passionnés.

2. Des tests et boîtes à outils pour se former : C’est ce que propose l’école Maestro. Fière incarnation de son nom, les formations de cette école du product management proposent de devenir un véritable chef d’orchestre du produit numérique, à la manière de ce qu’est le product manager. En plus de ses formations, Maestro met à disposition de celles et ceux qui le souhaitent de nombreuses ressources en libre accès : tests, boites à outils de conseils métiers et des webinaires!

Que vous choisissiez de vous former seul ou accompagné, les outils pour changer de vie professionnelle ne manquent pas.

Pour financer une formation payante, pensez aux aides !

Plusieurs dispositifs peuvent prendre en charge une partie ou la totalité des frais de formation professionnelle, parmi lesquels :

Découvrir tous les dispositifs de financement pour faire une formation et se reconvertir dans un métier d’avenir.

Si vous choisissez de suivre une formation en ligne, vous pouvez aussi bénéficier de ces aides.

Se reconvertir en s’affirmant

Que ce soit un tout nouveau métier ou une opportunité de reconversion dans le même secteur, la question est la même : que peut-il manquer lorsqu’on se reconvertit ?

La force d’une communauté, l’assurance de faire les bons choix, la certitude d’être aligné avec ses valeurs. Voilà ce qui peut freiner l’évolution professionnelle.

Vous avez le sentiment de ne pas être légitime, est-ce grave docteur ? Grave non, mais répandu : vous souffrez du symptôme de l’imposteur ! Pour le combattre, valorisez vos compétences professionnelles, vos connaissances et vos accomplissements personnels.

En dressant la liste de ce que vous avez appris concrètement au cours de votre carrière, vous allez découvrir la somme de vos compétences ! Jugez-vous sur des faits. Choisir la réorientation professionnelle, c’est souvent choisir une voie qu’on a pressenti comme nous correspondant, comme faisant sens avec nos valeurs.

Beaucoup de parcours de reconversion se font vers des métiers à impact, des métiers qui ont du sens et qui agissent pour préserver l’humain.


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Parfois, la reconversion peut aussi se faire à l’intérieur même de son domaine et de son secteur d’activité.

On peut changer son métier sans changer de métier ! Comment ? En intégrant par exemple à son poste les enjeux de responsabilité sociétale et environnementale des entreprises, ou bien en faisant le même métier dans une structure à impact.

Les conseils pratiques de Maria Schools :

1. Comprendre le syndrome de l’imposteur : Pour s’écouter, s’affirmer et oser, une mine de conseils coup de pouce se trouvent dans cette conférence sur le sujet, organisée par Hero. École du storytelling et de la créativité, ces formations Hero proposent de prendre le pouvoir par les mots ! Pratique dans un parcours de reconversion où il vous faudra souvent séduire par votre histoire.

2. Savoir par où commencer : Vous voulez agir, mais vous ne savez pas par où commencer professionnellement ? L’école Indigo vous guidera dans le monde de la RSE. Comment s’orienter vers les métiers à impacts, comment se former au pilotage de la transition climat, quelles sont les ressources indispensables à connaître sur le climat ? Suivez le guide Indigo !

Exemples de compétences clés pour une reconversion vers un métier de demain :

  • compétences professionnelles techniques (hard skills) spécifiques dans l’information, la cybersécurité, le nucléaire, le cloud, etc.

⇒ Pour y avoir accès, une solution : se former.

  • des compétences transversales (soft skills) comme la créativité, la capacité à communiquer des idées, l’esprit d’innovation, etc.

⇒ Pour développer ces compétences : développer son réseau, suivre des formations…

Faire un bilan de compétences vous permet de faire le point sur votre situation professionnelle, vos aspirations et motivations pour changer de voie professionnelle… Vous pouvez aussi consulter un CEP (conseiller en évolution professionnelle) pour parler de vos envies de faire une reconversion, de changer de profession et d’entamer une reconversion vers un métier de demain.

N’attendez pas le burn-out pour changer de job ! D’après Pôle Emploi, 85 % des emplois de 2030 n’existent pas encore. Commencer une nouvelle carrière dans un métier de demain, c’est possible !

Anticipez les besoins du marché du travail et des entreprises pour suivre des formations professionnelles adaptées, monter en compétences et suivre un programme de reconversion vers un métier d’avenir.


●  La rédaction vous conseille
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Qu’est-ce que le renoncement silencieux ? (Quiet Quitting)

Le Quiet Quitting est le renoncement silencieux des salariés

Venu tout droit des États-Unis, le Quiet Quitting, appelé le « renoncement silencieux » en français, est un phénomène nouveau. Il qualifie les salariés qui effectuent leur travail sans s’investir davantage dans leurs missions.

Finies les heures supplémentaires, terminées les journées intensives au boulot… Le renoncement silencieux privilégie le strict minimum pour mieux réserver son temps et son énergie à d’autres activités souvent personnelles.

Bon à savoir :

L’expression « Quiet Quitting » vient d’un utilisateur TikTok qui a publié un message sur ce réseau social et qui a été vu plus de 3 millions de fois en quelques heures.

Contrairement à la Grande Démission, le renoncement silencieux n’implique aucune démission.

Il ne s’agit pas non plus d’éviter le travail, mais de rester discret et de considérer son emploi comme un élément non central de son quotidien.

Ainsi, les salariés qui renoncent silencieusement ne répondent plus aux mails en dehors des heures de travail ou n’acceptent pas de tâches supplémentaires.


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Pourquoi renoncer silencieusement à son travail ?

Épuisement professionnel, burn-out, mauvais équilibre vie pro / vie perso… De nombreuses raisons poussent les salariés à ralentir le rythme dans leur profession.

Le renoncement silencieux est aussi un signe que la vision et les mentalités sur notre rapport au travail évoluent. Les salariés ne veulent plus s’échiner au boulot et veulent privilégier leur développement personnel.

Moins de travail et plus de plaisirs personnels. Voilà une idée qui rompt avec la culture d’entreprise actuelle qui valorise la productivité et l’investissement au sein de l’entreprise.

Pratiquer le renoncement silencieux pour ralentir le rythme de travail

L’idée du renoncement silencieux n’est pas de démissionner parce que vous êtes malheureux dans votre job ou de protester contre des conditions de travail désagréables.

De plus en plus de décrocheurs discrets sont stressés par leur vie professionnelle. Leur métier a beau les passionner, il leur prend un temps colossal, en plus parfois d’un management anxiogène et d’une accumulation de travail.

Alors, sans tout envoyer balader ni changer de vie ou changer de métier, le Quiet Quitting est une solution pour ralentir le rythme et diminuer le stress au travail.

Réduire la charge de travail, se cantonner au minimum pour mieux souffler, voilà des méthodes qui peuvent aider à retrouver une certaine stabilité dans son emploi.

Mais attention au burn-out. Si vous en venez à décrocher de votre poste pour des raisons de santé au travail, pensez à consulter votre médecin ou à en parler avec un professionnel.

La Quiet Quitting ou le désengagement des salariés en entreprise

Les renonceurs silencieux sont aussi des salariés désengagés, possiblement démotivés par leur emploi. La plupart du temps, ils n’expriment aucune insatisfaction dans leur job.

Leur manque d’engagement peut néanmoins en dire long sur leur motivation.

L’épuisement ou le manque de sens et d’objectifs sont autant de raisons qui peuvent pousser un salarié à renoncer.


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Renoncer au travail, un signe d’épuisement

Pendant plus d’une décennie, la culture du travail a incité les salariés à s’engager toujours plus dans leur entreprise, à placer leur profession comme presque centrale dans leur vie professionnelle et personnelle. Elle valorise les longues heures passées au bureau.

Mais la mentalité autour de l’emploi et de l’entreprise change.

Les Français veulent un meilleur équilibre vie pro / vie perso, travailler dans des conditions moins difficiles et exercer un métier moins stressant, d’après l’enquête publiée par Orientaction en partenariat avec l’IFOP.


●  En savoir plus

Lâcher silencieusement son travail peut donc être le syndrome d’un épuisement professionnel et, plus grave encore, les prémices d’un burn-out (surmenage) et d’une dépression.

Les employeurs ne peuvent pas négliger l’impact du travail sur la santé mentale des salariés. Rester vigilant sur les signes d’un renoncement silencieux permet d’anticiper un épuisement physique, émotionnel et mental.

Petit rappel sur le burn-out :

Le burn-out se traduit par un « épuisement, physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel », d’après Christina Maslach, psychologue dont les travaux ont été repris par la Haute Autorité de Santé.

Alors, quid de l’avenir du travail ? La Grande Démission, le Renoncement silencieux et le Grand Regret sont-ils les prémices d’un nouveau monde du travail où les salariés relaient leur activité professionnelle au second plan ?

Affaire à suivre.


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Comment faire une reconversion sans perte de salaire ?

3 astuces pour se reconvertir sans perdre son salaire

La reconversion professionnelle vous aide à vous épanouir dans un nouveau travail. Changer de poste, changer de métier et créer votre entreprise font partie des possibilités de réorientation de votre carrière.

Mais se reconvertir devient difficile quand on n’a plus de revenu.

Alors, voici 3 astuces pour faire une reconversion sans perte de salaire :

  1. Épargner et mettre de l’argent de côté pour préparer votre reconversion ;
  2. Obtenir une formation rémunérée sans perte de salaire ;
  3. Bénéficier des aides financières et des dispositifs de formation pour conserver une rémunération.

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Mettre de l’argent de côté pour faire une reconversion

Une reconversion, ça se planifie. Si vous avez envie de changement, c’est bien. Écoutez cette voix qui vous pousse à changer de branche ou à changer de secteur d’activité. Mais ne foncez pas tête baissée vers votre nouvelle vie professionnelle.

Avant de changer de voie, établissez un plan de reconversion. Vous pouvez le faire seul ou seule ou bien demander conseil à un coach professionnel (payant) ou à un conseiller en évolution professionnelle (CEP) (gratuit).

Vous pouvez anticiper votre changement de carrière en épargnant une partie de vos revenus actuels sur un compte épargne.

Prévoyez l’équivalent d’un mois de salaire ou plus en fonction de la durée estimée de votre projet de réorientation professionnelle.

Cette épargne couvrira des frais éventuels ou permettra de financer une formation. C’est une sécurité financière qui vous assure le minimum pour vous reconvertir professionnellement.

Suivre une formation rémunérée et recevoir un salaire

Une formation rémunérée vous permet d’acquérir de nouvelles compétences en vue d’une évolution professionnelle et / ou pour changer de travail.

L’idée : suivre une formation professionnelle tout en continuant à percevoir un salaire.

Oui, vous avez bien lu, vous pouvez être payé pour faire une formation qui vous aidera à changer de vie. Pour cela, vous pouvez vous adresser à plusieurs organismes comme :

  • Pôle Emploi si vous êtes demandeur d’emploi (dans ce cas, vous recevez un revenu de remplacement pour assurer les dépenses quotidiennes jusqu’à retrouver un emploi) ;
  • Les Transitions pro avec le projet de transition professionnelle (PTP) qui vous permet de suivre une formation rémunérée certifiante pendant vos heures de travail (vous restez salarié dans votre entreprise et vous continuez à percevoir une rémunération mensuelle tout en bénéficiant d’un congé individuel de formation).

Quel que soit votre secteur d’activité ou votre statut (demandeur d’emploi, salarié, travailleur indépendant, etc.), il existe des solutions pour vous aider à apprendre un nouveau métier sans perdre votre rémunération et tout en réduisant les frais personnels.

Bénéficier des aides financières pour réussir sa reconversion

Il existe de nombreux dispositifs de financement de formations pour accompagner votre réorientation de carrière.

Vous pouvez financer votre formation avec le compte personnel de formation (CPF) ou avec les OPCO. Votre employeur et la région peuvent prendre en charge une partie ou la totalité ducoût de la formation.

Mais attention, ces dispositifs prennent en charge votre formation. Si celle-ci exige un investissement à temps plein, vous devrez trouver une solution financière pour continuer à vivre normalement.

Les formations professionnelles continues durent moins d’un an en moyenne. Vous pouvez aussi vous former en ligne ou à distance de façon à conserver votre emploi le temps de changer de voie, d’élaborer un nouveau projet professionnel et de trouver un emploi.

Préparer sa reconversion professionnelle et anticiper son budget

Revenons un peu en arrière. Avant de changer d’activité professionnelle, il y a des étapes à suivre.

La première chose à faire quand vous envisagez une reconversion est de tester vos motivations et de vous questionner sur vos aspirations.

De quoi avez-vous envie ? Pourquoi souhaitez-vous changer de carrière ?

Si votre envie de changement de métier est avérée, passez à l’action.

Si l’argent et la question financière vous angoissent, débarrassez-vous de ce blocage en établissant un plan d’actionet réussissez votre changement professionnel.

Pour vous aider, voici quelques questions à vous poser avant de vous réorienter professionnellement.

De combien d’argent avez‑vous besoin pour effectuer votre reconversion ?

Ce budget dépendra du processus de reconversion et des prestations que vous souhaitez effectuer comme :

  1. des formations ;
  2. un coaching ;
  3. un bilan de compétences.

Heureusement, les dispositifs de financement comme le CPF peuvent financer une partie de ces prestations. Prenez aussi ces dispositifs dans votre budget.

Comment se reconvertir en limitant la perte de salaire ?

Trois options s’offrent à vous quand vous voulez changer de boulot :

  1. Démissionner et commencer une nouvelle carrière sans tarder avec vos fonds personnels et les dispositifs de financement existants (vous pouvez aussi négocier une rupture conventionnelle avec votre employeur) ;
  2. Rester en poste et suivre des formations en parallèle de votre activité (vous changez d’orientation professionnelle sans perte de salaire) ;
  3. Demander un congé sabbatique à votre employeur pour faire le point sur votre carrière. Vous pouvez aussi voir avec votre employeur si ce congé peut être rémunéré (tout dépend de la convention signée par votre entreprise).

Dans ces trois cas, vous pouvez limiter la perte de rémunération. Mais il vous faudra anticiper les démarches avant de vous lancer dans la vie professionnelle de vos rêves et entamer une reconversion.

Comment financer au maximum son changement de profession ?

De nombreuses réformes existent pour simplifier la transition professionnelle et permettre aux salariés du privé et du public, tous secteurs d’activité confondus, de changer d’emploi.

Renseignez-vous sur tous les dispositifs de financement de la formation continue et initiale, mais aussi sur toutes les possibilités pécuniaires existantes pour soutenir votre projet de reconversion.


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Il existe également des dispositifs comme la validation des acquis de l’expérience (VAE) qui vous permettent de valider vos compétences professionnelles pour évoluer dans votre métier sans avoir à suivre une formation.

Changer de job sans perte de salaire

Changer de profession peut impliquer une perte de salaire ou, au contraire, un gain. En fonction de vos objectifs, la reconversion a pour but de vous épanouir dans votre nouveau travail.

Mais la peur de gagner moins bien sa vie qu’avant freine beaucoup de Français.

Quitter son CDI pour se lancer dans l’entrepreneuriat, changer de secteur pour aller vers une activité moins rémunératrice… Voilà de quoi freiner ses envies professionnelles.

Cependant, aller à l’encontre de ce désir de changement, lutter contre l’épuisement professionnel, supporter la boule au ventre avant d’aller au bureau… Voilà le cocktail parfait pour faire un burn-out et une dépression.

Si cette petite voix vous répète tous les jours de réfléchir à un projet et de trouver votre vocation professionnelle ailleurs… Écoutez-la !

La peur de perdre sa rémunération après la reconversion

Si la peur de perdre votre équilibre financier actuel vous empêche d’avancer, vous pouvez toujours rencontrer des coachs et des professionnels spécialisés dans les changements de carrière.

La discussion permet souvent de désamorcer les angoisses. Les professionnels sont présents pour vous aider à avancer dans vos projets de reconversion pour trouver le sens et l’épanouissement que vous recherchez.

Passer à l’action quand on est prêt à changer de voie professionnelle

N’oubliez pas que le bon moment pour changer de métier, c’est quand vous vous sentez prêt.

Apprenez à vous poser les bonnes questions pour lutter contre les croyances limitantes, les peurs et définir vos véritables motivations.

Parfois, une nouvelle aventure professionnelle commence avec un simple changement de poste, ou un changement d’entreprise.

Les réorientations professionnelles sont multiples et il est possible de changer plusieurs fois de métier.

L’argent, dans tout ça, est un frein, une motivation ou un détail insignifiant. Pour limiter au maximum la perte salariale, la meilleure solution est de préparer votre reconversion professionnelle.


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Vague de froid et travail : que dit la loi ?

Travail : quelle est la température minimale exigée par la loi dans les bureaux ?

L’hiver est bel et bien installé et répand ses températures glaciales sur tout l’Hexagone, avec des vagues de froid record (-13°C en Haute-Marne).

Qu’en est-il des conditions de travail ? Pouvez-vous refuser d’aller travailler si les bureaux, en intérieur, ne sont pas correctement chauffés ?

Malheureusement, il n’existe pas de température minimale légale en France. L’Institut national de recherche de sécurité (l’INRS) recommande une température comprise entre 20 et 22°C dans les bureaux pour travailler dans de bonnes conditions.


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Le Code du travail n’admet aucun seuil de température minimal ou maximal. La loi ne précise donc pas si vous avez le droit de refuser d’aller au bureau en cas de grand froid.

Le Code du travail stipule que les « locaux fermés affectés au travail sont chauffés pendant la saison froide. Le chauffage fonctionne de manière à maintenir une température convenable. » La définition de « température convenable » n’est pas précisée.

Quelle est la température idéale pour travailler ?

L’INRS estime que la température idéale pour travailler en hiver est de :

  • 20 à 22°C dans les bureaux fermés ;
  • 16 à 18°C dans les ateliers avec une activité physique moyenne ;
  • 14 à 16°C dans les ateliers avec une activité physique soutenue.

Les salariés sédentaires assis derrière un écran d’ordinateur, par exemple, sont plus susceptibles d’avoir froid et de tomber malades.

Que faire s’il fait trop froid au travail ?

Les salariés peuvent demander une hausse du chauffage ou des températures, car il est bien connu que se concentrer et travailler en claquant des dents n’améliorent pas la productivité… Ni l’épanouissement.

Pour les salariés travaillant dans des bureaux fermés, vous pouvez exiger auprès de votre employeur de remonter la température et de mieux chauffer les salles.

Pour les salariés qui travaillent en extérieur, vous pouvez exiger auprès de votre dirigeant d’entreprise de vous équiper en vêtements de travail adaptés.

La petite histoire

Un salarié a appliqué son droit de retrait parce qu’il travaillait avec une température de 14 degrés dans son bureau. Lors du procès, les juges ont reconnu la validité de son droit à quitter son poste et à ne pas se rendre au travail, car ils estimaient que sa vie ou sa santé pouvaient être en danger.

Ainsi, s’il n’existe pas à proprement parler de loi pour sanctionner ou réglementer les conditions de travail des salariés par temps de froid, vous pouvez toujours en parler à votre manager ou votre employeur et mettre en place des actions pour changer ces mauvaises conditions.

Notez que les personnes âgées et les salariés à la santé fragile peuvent justifier leur exercice du droit de retrait. Un mot du médecin ou une contre-indication médicale peut être fourni à votre employeur.

Zoom sur le droit de retrait :

Le droit de retrait s’applique normalement quand le salarié estime que sa situation le met en danger grave et imminent ou peut détériorer sa santé ou sa sécurité.

Il consiste à ne pas se rendre au travail ou à quitter son poste et ne pas effectuer ses missions.

Neige, verglas, froid :  dois‑je me rendre au travail ?Quels sont mes droits ?

En cas de perturbations neigeuses ou de verglas qui vous empêche d’aller travailler, votre employeur ne peut pas vous sanctionner.

Les routes et les transports en commun bloqués font partie des aléas et constituent une « force majeure » qui excuse votre absence au bureau.

Mais vous avez 48 heures pour prévenir votre employeur de votre incapacité à venir travailler.

Si c’est possible, le télétravail reste une solution pour ne pas abandonner son poste et continuer ses tâches sans se rendre en entreprise.

Conclusion : aller au travail quand il fait froid

Votre employeur est dans l’obligation légale d’assurer de bonnes conditions de travail et de garantir votre sécurité. Cela peut donc impliquer la hausse de la température en cas de vagues de froid.

Néanmoins, aucun article légal dans le Code du travail ne précise les températures minimales pour bien travailler.

Ainsi, si la situation au travail est insoutenable, vous pouvez toujours en parler avec votre employeur et trouver une solution.

Une solution plus radicale est d’exercer votre droit de retrait.


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Reconversion professionnelle : vers qui se tourner ?

Qui contacter pour se reconvertir professionnellement ?

Quête de sens, manque de motivation, envie de changement, reconversion

Il existe une multitude de raisons de vouloir quitter son emploi pour changer de secteur d’activité, changer d’entreprise ou bien évoluer dans sa profession.

Mais vers qui se tourner quand on veut se reconvertir ? Qui contacter ?

Voici des exemples de contacts vers lesquels vous tourner quand vous voulez entamer une reconversion professionnelle :

Se tourner vers le Conseil en évolution professionnelle pour se réorienter

Le CEP vous aide à vous poser les bonnes questions sur votre projet professionnel.

Ce service gratuit vous permet de faire le point sur vos compétences, vos aspirations et vos motivations pour changer de vie professionnelle.

Au cours d’un rendez-vous avec un conseiller en évolution professionnelle, vous questionnez vos envies, revoyez votre parcours professionnel et tentez de délimiter le cadre pour faire une reconversion et vous épanouir dans votre carrière.

Le CEP, un dispositif gratuit et personnalisé

L’avantage du CEP est qu’il est 100 % gratuit. Il vous suffit de prendre rendez-vous avec un conseiller pour préciser votre projet de reconversion, de reprise ou de création d’entreprise, etc.

Le conseil en évolution professionnelle est la première étape pour réorienter sa carrière.

Le CEP est accessible à tous les actifs

Que vous soyez salarié du secteur privé ou du secteur public, demandeur d’emploi ou travailleur indépendant, vous avez le droit de prendre rendez-vous avec un conseiller en évolution professionnelle.

Vous trouvez la liste des conseillers disponibles dans votre région sur le site Mon CEP.

Si vous êtes au chômage, vous pouvez vous adresser directement à Pôle Emploi. Si vous avez un statut de cadre, vous pourrez bénéficier de ce dispositif à l’Apec. Pour les salariés et indépendants, vous pouvez contacter les opérateurs CEP de votre région.


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Faire un bilan de compétences dans un centre spécialisé

Le bilan de compétences fait le point sur vos talents et compétences professionnelles (soft skills et hard skills).

C’est une étape intéressante pour effectuer une reconversion en commençant par analyser votre expérience professionnelle et votre savoir-faire.

Pour effectuer un bilan de compétences, vous pouvez vous tourner vers la Fédération Nationale des Centres Interinstitutionnels de Bilan de Compétences. Le CIBC réunit tous les centres qui vous permettent de réaliser un bilan de compétences.

Vous pouvez aussi contacter des organismes privés et qualifiés pour passer un bilan de compétences, comme Garance Et Moi, Chance, Sensei, Orientaction ou encore Bloomencia.

Les avantages du bilan de compétences

Le bilan de compétences vous aide à avoir une vision claire des étapes professionnelles pour changer de boulot et créer un plan de reconversion.

Il vous permet de voir quelles compétences améliorer ou acquérir pour réussir son changement de carrière et apprendre un nouveau métier.

Le bilan de compétences vous fait passer certains tests psychologiques pour déterminer vos qualités, vos défauts et vos centres d’intérêt.

Le but est de vous orienter vers un secteur d’activité idéal dans lequel vous pourriez vous épanouir.

Quel est le prix d’un bilan de compétences ?

Le prix d’un bilan de compétences varie entre 1.500 euros et 3.000 euros. Chaque organisme paritaire est libre de fixer son prix.

Vous pouvez néanmoins utiliser le compte personnel de formation (CPF) pour prendre une charge une partie ou la totalité du bilan de compétences.

Certains dispositifs de financement peuvent vous aider à financer un bilan de compétences.

Pour les demandeurs d’emploi, vous pouvez vous adresser à Pôle Emploi pour demander une prise en charge totale du bilan de compétences via l’Aide individuelle à la formation (AIF).

Contacter Transitions Pro pour changer de voie professionnelle

Les Transitions Pro ont remplacé Fongecif et agissent pour la formation professionnelle. Les associations se trouvent dans chaque région de France et dans les DOM.

Leur mission est d’aider les salariés dans leurs projets de reconversion professionnelle. Deux dispositifs sont possibles :

  • le dispositif démissionnaire pour toucher les allocations chômage après une démission ;
  • le projet de transition professionnelle (PTP) pour suivre une formation et s’absenter de son poste de travail.

Démission, reconversion et allocations chômage

Le dispositif démissionnaire vous permet de recevoir une indemnité de chômage après avoir démissionné de votre emploi.

Pour en profiter, vous devez impérativement avoir un projet pour votre avenir professionnel. Une commission doit le valider pour vous donner accès à l’allocation et vous permettre de commencer une nouvelle carrière.

Le temps de réaliser votre projet, vous recevez une indemnité de la part de Pôle Emploi.


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Le projet de transition professionnelle (PTP) pour suivre une formation rémunérée

Le congé individuel de formation (CIF) a changé de nom et devient le projet de transition professionnelle (PTP) ou CPF de transition. Ce dispositif permet aux salariés de suivre une formation sur leur temps de travail et sans perte de salaire.

Pour en profiter, vous devez répondre à plusieurs critères comme :

  • être en CDI ou en CDD avec 24 mois d’ancienneté minimum (consécutifs ou non) ;
  • la formation choisie doit être certifiante et inscrite au RNCP :
  • la formation doit être éligible au CPF.

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Transition Pro évalue votre dossier et vérifie que vous remplissez les conditions d’éligibilité. Elle analyse aussi la cohérence de votre projet et les perspectives d’emploi de votre région.

Si votre dossier est validé, Transitions Pro prend en charge les frais de formation et votre rémunération pendant la période de transition.

Se tourner vers les OPCO pour se reconvertir

Les opérateurs de compétences (OPCO) sont des organismes agréés par l’État. Ils ont une mission d’accompagnement à la formation professionnelle pour salariés issus des petites et des moyennes entreprises.

Les OPCO peuvent financer une reconversion professionnelle et promouvoir le retour à l’emploi via l’alternance.

Le dispositif Pro-A permet de changer de profession ou d’évoluer dans sa carrière via une formation en alternance ou une validation des acquis de l’expérience (VAE).

À qui s’adressent les OPCO ?

Les opérateurs de compétences s’adressent aux actifs français salariés (CDI, CDD, intérim…) qui ont un niveau de qualification en dessous de la licence.

Se former en alternance vous permet d’obtenir une certification professionnelle comme un titre RNCP, QCP ou de faire une VAE.

Comment contacter un OPCO

11 OPCO se répartissent dans tout l’Hexagone. Chacun est consacré à une branche professionnelle différente. Vous devez contacter l’organisme qui répond à votre secteur d’activité.

Vous pouvez toujours les contacter via leur site officiel.

Profiter d’un accompagnement personnalisé avec un coach professionnel

Le coaching vous permet de définir et de réaliser votre projet de formation et/ou de reconversion.

Les coachs professionnels certifiés vous accompagnent de A à Z dans votre cheminement pour vous permettre de dresser un bilan professionnel, d’effectuer un changement de métier ou d’être accompagné pour votre reconversion.

Découvrez notre liste de coachs professionnels certifiés pour vous accompagner dans votre projet de réorientation professionnelle.

Se tourner vers les organismes de formation pour réussir sa reconversion

Si vous avez besoin de vous former à certaines compétences, la formation continue ou initiale est la meilleure solution.

Suivre une formation qualifiante vous permet de changer de job, d’obtenir de nouvelles compétences et de travailler dans un autre secteur d’activité. Vous recevez un diplôme ou une certification attestant de votre savoir-faire pour trouver un emploi et vous faire recruter plus facilement au poste qui vous intéresse.

Vous pouvez trouver votre organisme de formation sur Mon Compte Formation qui recense toutes les formations certifiantes compatibles avec le CPF.

Vous pouvez aussi chercher les organismes de formation disponibles autour de chez vous et les contacter directement.


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